Bonne nuit
02/01/2015 21:34 par juliette748
Bonne nuit mes amis
LE PARADIS DE NOS ANGES
Regardez, mais regardez donc là haut ! Oui levez les yeux !,
Ne le voyez-vous pas ce Paradis de nos Chers Animaux ?
Là ! Au-dessus de ce nuage dont la forme est un chien
Et à côté de celui-ci dont la forme est un chat !
Il est là ce Paradis !
Et puis si votre regard se coule vers la droite,
Il y a le coin des rongeurs :
Regardez, mais regardez donc !
Laissez aller maintenant votre regard vers la gauche :
Là est le coin des chevaux, des ânes.
Vous le voyez n'est-ce-pas ?!
Dans le ciel si bleu, au-dessus de nos têtes
Ils sont là, Ils vivent ailleurs en pleine santé,
Dans de grands prés verts bien fleuris
Où coule la Source du Paradis, et,
Quand vient la nuit Ils allument pour nous
Les étoiles afin que nous ayons nous aussi
Cette lumière qui les entoure.
Le Paradis des Animaux : il est là !
Vous le voyez n'est-ce-pas ?

Petit Garçon
Dans un magasin je me suis retrouvée dans l'allée des jouets. Du coin de l'oeil, j'ai remarqué un petit bonhomme d'environ 5 ans, qui tenait une jolie petite poupée contre lui...
Il n'arrêtait pas de lui caresser les cheveux et de la serrer doucement contre lui. Je me demandais à qui était destinée la poupée. Puis, le petit garçon se retourna vers la dame près de lui: " Ma tante, es-tu certaine que je n'ai pas assez de sous?"
La dame lui répondit avec un peu d'impatience:
"tu sais que tu n'as pas assez de sous pour l'acheter " .
Puis sa tante lui demanda de rester là, et de l'attendre quelques minutes.
Puis elle partit rapidement.
Le petit garçon tenait toujours la poupée
dans ses mains. Finalement, je me suis dirigée vers lui, et lui ai demandé
à qui il voulait donner la poupée.
" C'est la poupée que ma petite soeur désirait plus que tout pour Noël
Elle était sûre que le Père Noël la lui apporterait
"Je lui dis alors qu'il allait peut-être lui apporter."
Il me répondit tristement: " Non, le Père Noël ne peut pas aller là où ma petite soeur se trouve
maintenant... "
"Il faut que je donne la poupée à ma maman pour qu'elle la lui apporte"
Il avait les yeux tellement tristes en disant cela.
"Elle est partie rejoindre Jésus. Papa dit que maman va aller retrouver Jésus bientôt elle aussi, alors j'ai pensé qu'elle pourrait prendre la poupée avec elle et la donner à ma petite soeur "
Mon coeur s'est presque arrêté de battre.
Le petit garçon a levé les yeux vers moi et m'a dit: " J'ai dit à papa de dire à maman de ne pas partir tout de suite. Je lui ai demandé d'attendre que je revienne du magasin "
Puis il m'a montré une photo de lui prise dans le magasin, sur laquelle il tenait la poupée en me disant: "Je veux que maman apporte aussi cette photo avec elle, comme ça,elle ne m'oubliera pas. J'aime ma maman et j'aimerai qu'elle ne me quitte pas, mais papa dit qu'il faut qu'elle aille avec ma petite soeur"
Puis il baissa la tête et resta silencieux. Je fouilla dans mon sac à mains, et j'en sorti une liasse de billets et je demanda au petit garçon: "Et si on recomptait tes sous une dernière fois pour être sûrs? "
"OK", dit-il, "Il faut que j'en ai assez" .
Je glissai mon argent avec le sien et nous avons commencé à compter.
Il y en avait amplement pour la poupée et même plus. Doucement, le petit garçon murmura: "Merci Jésus pour m'avoir donné assez de sous".
Puis il me regarda et dit: "J'avais demandé à Jésus de
s'arranger pour que j'ai assez de sous pour acheter cette poupée afin que ma maman puisse l'apporter à ma soeur. Il a entendu ma prière. Je voulais aussi avoir assez de sous pour acheter une rose blanche à ma maman, mais je n'osais pas lui demander. Mais il m'a donné assez de sous pour acheter la poupée et la rose blanche. Vous savez, ma maman aime tellement les roses blanches..."
Quelques minutes plus tard, sa tante revint, et je m'éloignai en poussant mon panier. Je terminai mon magasinage dans un état d'esprit complètement différent de celui dans lequel je l'avais commencé.
Je n'arrivais pas à oublier le petit garçon. Puis, je me suis rappelée un article paru dans le journal quelques jours auparavant, qui parlait d'un conducteur en état d'ivresse qui avait frappé une voiture dans laquelle se trouvait une jeune femme et sa fille.
La petite fille était morte sur le coup et la mère gravement blessée.
La famille devait décider s'ils allaient la faire débrancher du respirateur.
Est-ce que c'était la famille de ce petit garçon? Deux jours plus tard, je lu dans le journal que la jeune femme était morte. Je ne pu m'empêcher d'aller acheter un bouquet de roses blanches et me rendre au salon mortuaire où était exposée la jeune dame.
Elle était là,
tenant une jolie rose blanche dans sa main, avec la poupée et la photo du petit garçon dans le magasin. J'ai quitté le salon en pleurant sentant que ma vie changerait pour toujours. L'amour que ce petit garçon éprouvait pour sa maman et sa soeur était tellement grand, tellement incroyable. Et en une fraction de seconde, un conducteur ivre lui a tout enlevé...
Maintenant, tu as deux choix :
1) mettre cet article dans ton blog
2) faire comme si tu l'avais pas lu et qu'il ne t'avait pas touché
Si tu le mets dans ton blog peut-être que tu empêcheras quelqu'un de conduire après avoir consommé.
Quand demain commence sans moi,
Et que je ne suis pas là pour le voir,
Le soleil va briller et ouvrir tes yeux
Tout pleins de larmes pour moi.
Je voudrais tant que tu ne pleures pas,
Comme tu l'as fait aujourd'hui,
En te souvenant comment je posais ma tête
Dans tes genoux, de façon particulière...
Je sais combien tu m'aimes,
Autant que je t'aime,
Et chaque fois que tu penses à moi,
Je sais que tu vas me manquer aussi.
Mais quand demain commence sans moi,
S'il te plaît, essaie de comprendre
Qu'un ange est venu et a dit mon nom,
Et m'a caressé la patte.
Il m'a dit que ma place était prête,
Dans le ciel au-dessus,
Et que je devais laisser en arrière
Tous ceux que j'adore.
Mais, quand j'ai tourné les talons,
Une larme a coulé de mes yeux,
De toute ma vie, je n'avais jamais pensé
Que je devrais mourir .
J'ai eu tellement de choses à vivre,
Tant d'assis et de coucher à faire,
Il me semblait impossible
Que je te quitte...
J'ai repensé à notre vie ensemble,
Je sais que tu es triste,
Je songe à tout l'amour que nous avons partagé,
Et à tout le plaisir que nous avons eu...
Rappelles-toi comment je poussais ta main,
Et te piquais avec mon nez...
La balle volante que je poursuivais joyeusement,
Le méchant gars, que je devais aggripper...
Si je pouvais revivre hier,
Même pour un peu de temps,
Je remuerais le queue et je t'embrasserais,
Juste pour te revoir sourire.
Mais alors j'ai pleinement réalisé
Que cela ne pourrait jamais être,
Que le néant et les souvenirs
Prendront ma place.
Et quand je songe aux friandises et aux jouets,
Il me manque de venir demain,
Mon cœur canin se remplit de tristesse.
Mais alors j'ai franchi la porte du Ciel,
Alors que je me sentais si bien à la maison ;
Dieu m'a regardé et m'a souri,
De son magnifique trône d'or.
Il m'a dit « Ceci est l'éternité,
Et maintenant, bienvenue parmi nous,
Aujourd'hui, ta vie sur terre est terminée,
Mais ici, elle recommence
Je ne promets aucun demain,
Mais un aujourd'hui qui durera toujours ;
Car vois-tu, chaque jour est le même jour,
Il n'y a pas la nostalgie du passé.
Maintenant, tu as été si fidèle,
Si confiant, loyal et sincère ;
Bien qu'à certains moments tu as fait des choses,
Que tu savais qu'il ne fallait pas faire.
Mais les bons chiens sont pardonnés,
Et maintenant, enfin, tu es libre;
Ainsi, ne t'assoirais-tu pas à mes côtés,
Et attendre ici même avec moi? "
Donc, quand demain va venir sans moi,
Ne crois pas que nous sommes éloignés.
Chaque fois que tu penses à moi,
Je suis juste là, dans ton cœur.

Je les ai tant aimés, et ils m’ont tant donné,
Je revois leurs yeux quand ils me fixaient,
Je ne pourrai jamais vraiment les oublier.
J’entends encore leur cœur, contre le mien serré.
Pourtant ils sont partis, me laissant sur la route.
Là, ils ont mis en moi la grande peur du doute,
De n’avoir pas su faire les signes qu’il fallait,
Ou les gestes pour dire combien je les aimais.
Je n’ai jamais compté le nombre de caresses,
Les heures consacrées à capter la tendresse,
Complicités du jour, compagnie de la nuit,
Instants sacrés, qui me manquent aujourd’hui.
Le monde est cruel et l’humain n’est pas tendre,
Les Animaux sont là pour nous faire comprendre
Que l’Amour se rencontre mais ne s’achète pas,
Il se trouve souvent… en lui tendant les bras.
Des yeux qui vous implorent, une queue qui remue,
Un miaulement, un aboiement, sont un appel qui tue.
Ils voudraient bien vous dire « c’est moi qui te choisis »,
Mais hélas bien trop vite, déjà, vous êtes repartis.
Nous resterons ici, dans ces cages affolantes, carcérales,
Merci pour les bons soins grâce à la protection Animale,
Certains pour quelques temps et d’autres pour toujours,
Espoir sans avenir, quête éperdue d’un impossible Amour.
Puis tu es arrivé, charmant petit enfant, tu t’es mis à pleurer,
Tes doigts se sont serrés sur la grille que tu n’as pas lâchée.
La pluie de tes larmes, les sanglots de ta voix, déchirants
De sincérité, de joie, d’Amour mêlés, ont touché tes parents.
Oh ! Que tu étais fier ! Tenir en ta main la laisse du bonheur,
Te rendait bien plus fort, puissant, tout en ouvrant ton cœur.
Tu as gagné petit, tu as gagné pour toi, tu as gagné pour lui,
Maintenant tu es deux, il veillera sur toi qui fus son seul Ami.
Qui a dit que les vieux chiens ne s’adoptent jamais,
Il a plus de 10 ans, mais son cœur est prêt à t’aimer.
Son destin est entre tes mains, tu viens de lui sauver la vie,
Trois ans qu’il était là ; je suis content, son calvaire est fini.
bonne nuit mes amis

encore une belle vérité
(1).gif)
(1).gif)
Ne jamais oublier, notre temps est compté
Demain, brusquement, le destin peut basculer,
La mort peut s’inviter, elle peut séparer
Sans pitié, sans remord, ceux qui se sont aimés.
On oublie trop souvent qu’il nous faut s’en aller
Un jour sans prévenir vers cette voie lactée,
Et même préparé, et même résigné,
A l’instant du départ, on reste révolté.
Car on aime la vie et le chant des oiseaux,
La goutte de rosée, le refrain du ruisseau,
La rose du jardin, le bel épi de blé,
Le lever du soleil et le ciel étoilé…
On se dit c’est fini, je ne verrai plus ça,
Dire adieu à ses chiens et adieu à ses chats…
Penser l’hiver prochain aux mésanges affamées :
On ne sera plus là pour leur donner leur blé…
Les enfants, même grands, que vont-ils devenir
On restera pour eux un très beau souvenir.
A l’heure du passage, c’est dur de quitter
Ce qui a fait nos vies, ce que l’on a aimé.
Regarde autour de toi tous ces gens esseulés
Et protège un peu plus ce en quoi tu croyais…
Regarde près de toi : ta femme a besoin
D’un petit mot d’amour simplement le matin,
D’un sourir parfois, d’un geste de la main,
D’un amour simplement avec de petits riens,
D’une main pour l’aider à passer les chemins
Ceux où on laisse les siens, cruauté du destin.
Si tu me tiens la main je trouverai en moi
La force d’avancer, de rester près de toi
Si tu me tiens la main, nous serons toi et moi
A jamais réunis et même sans la foi
Nous trouverons en nous cette sérénité
Simplement pour partir et pour nous séparer
Lorsque le jour viendra de ne plus être là
A t’écouter dormir et à guetter ton pas.
De toi, je garderai
Pour toujours enfermé
Tout au fond de mon cœur,
Une idée du bonheur.
A toi je resterai
A jamais attachée.
Et tu seras toujours
Comme au premier jour.
Pour toi j’avais bravé,
Contre vents et marées,
La houle de la vie,
Les jours parfois si gris.
Avec toi je restais,
Tu savais patienter
Ne jamais me quitter,
En boule, tu te roulais.
Que toi pour aboyer,
Et puis t’impatienter
Quand je parlais parfois
A un autre que toi.
Comme toi, moi j’aimais
M’en aller promener
Et tu te régalais
De courir dans les prés.
Sans toi, je ne sais plus
Vraiment ce que je suis,
Dans ton regard de chien
Je me sentais si bien.
