le Noël des animaux
12/12/2014 14:16 par juliette748
LE NOËL DES ANIMAUX
Ils ne leur manque que la paroles disent la plupart des gens. Et pourtant combien sont abandonnés sur le bord d’un chemin attaché à un arbre. Mais si… ils aimaient leur chien ou leur chat, ils les aimaient même trop, alors pour leur prouver tout leur amour ils les attachaient avec une grosse corde pour ne pas qu’ils s’échappent, leur donnaient une douce caresse puis un baiser en leur disant : attends moi je reviens. Le chien ne connaissait pas la pancarte du coiffeur ou était inscrit demain on rase gratuit…alors le chien attendait, se disant c’est pour demain, c’est sûr, hélas le demain c’était… reste ici sale bête crève si tu veux , nous nous allons à la mer, là-bas ni les chiens ni les chats sont admis (faux ) et puis pour nous la tranquillité, cinq minutes de liberté, nous t’avons bien nourri, tu as eu une bonne vie avec nous, alors excuse-nous si on te demande pardon, mais… tu n’es qu’une bête, tu comprends ?
Même au mois de Juillet les nuits sont parfois très fraîches, alors le laissé pour compte, il tremble de froid et de faim, il s’entortille sur lui même creuse un peu dans le sol pour ce faire se qui ressemblait avant…à son panier. A la pointe du jour, après avoir passé une nuit épouvantable de peur de frissons de gémissements, le prisonnier n’ouvre pas ses yeux, car il n’avait pas eu la peine de les fermer, il espère encore que ses maîtres, car il ne sait pas lui, le pauvre chien, que ses bourreaux sont des assassins sans cœur sans pitié, sans larme, peut être quelques enfants dans la voiture ont vu leur chagrin réprimandé par maman et papa qui leur disaient pour les consoler : Nous le reprendrons au retour, ne pleurez pas et puis nous irons à la SPA pour en prendre un autre, c’est vous qui le choisirez, alors mouchez votre nez et pensez que nous allons mettre les pieds dans l’eau de mer, d’ici une petite heure nous y serons. Des parents adorables, sympathiques au possible, débrouillards et gentils plus que de coutume, des parents gâteaux comme on en trouve …encore aujourd’hui surtout pour les vacances ( Vous me comprenez évidemment ) Peut être, et je dis peut être qu’une âme charitable, un ramasseur de champignons, un promeneur que le destin aura par bonheur conduit jusqu'à ce malheureux animal qui n’avait fait pour mal que d’être tombé dans une famille qui ne s’en barrasse pas de préjugés. Compagnon de l’homme, compagnon des personnes âgées oui, mais souvent esclave des vacanciers qui tueraient père et mère pour vite avoir l’héritage, sans souci du dur travail qu’ont accompli leurs parents durant leur vie pour pouvoir donner un plus à leurs enfants. L’ingratitude, la reconnaissance sont quelques fois des mots que des gens n’ont pas trouvés dans le dictionnaire. Pauvre chien, pauvre chat vous ne demandiez que de simple caresses, et ont vous à offert le châtiment le plus honteux, le plus sévère, la bassesse la plus haute…
Et pour Noël on ouvrira les chenils, car derrière les grilles une multitude d’animaux attendent la douceur d’un foyer, la caresse d’une main, le baiser d’un enfant, la gamelle de croquettes, et le couffin pour, enfin faire des rêves à la grandeur de leurs espoirs de leurs envies et de leur besoin.
Oh ! père Noël puisse-tu m’apporter des patrons honnêtes qui eux ne m’attacheront pas après un arbre dans la grande forêt du côté du sud. Oh ! père Noël fait leur signer un engagement officiel afin qu’ils ne m’abandonnent pas, j’ai si peur et si froid, que mon petit cœur ne résisterait pas, ces abandons que je lis dans les journaux et que l’on montre parfois à la télévision. Ce doit être terrible de se retrouver orphelin du jour au lendemain.
Oui je sais, je sais que beaucoup de gens pleurent lorsqu’ils perdent leur compagnon, ils leur font un petit cercueil pour les mettre dans leur jardin avec une petite croix dessus, et que chaque jour ils ont une pensée pour eux, ce n’est pas le cas pour ceux qui n’ont pour cœur qu’une pierre. Chers humain si vous nous aimez, nous vous aimerons nous aussi. OUAH ! OUAH !
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et une bonne soirée
gros bisous
Petite création pour mon ange

Un petit garçon de cinq ans a été sauvé d'une mort certaine par trois chiens de berger qui l'ont réchauffé, alors qu'il s'était égaré dans les montagnes très inhospitalières du Portugal.
Le petit garçon, Francisco Queiros, était en vacances avec sa famille dans un petit chalet de montagne lorsqu'il s'est éloigné "pour une petite promenade avec les chiens".
Alarmée par son absence prolongée, la famille a prévenu la police qui a très vite organisé les recherches. Lorsque la nuit est tombée, les espoirs de retrouver Francisco semblaient extrêmement minces : dans ces montagnes, la température descend parfois jusqu'à moins 20° C.
Aussi, quelle ne fut pas la surprise de l'oncle de Francisco lorsqu'il a retrouvé l'enfant l'après-midi suivant sa disparition !
Francisco avait été réchauffé et gardé au sec par les trois chiens de berger catalan qui s'étaient blottis contre lui pendant la nuit. Les trois animaux avaient veillé l'enfant pendant presque 24 heures sans s'éloigner de lui mais en aboyant à intervalles réguliers. "C'était comme s'ils nous appelaient",
A toi,
Toi qui nous as quittés subitement,
Toi qui es partis sans prévenir,
Toi qui as laissés dans nos cœurs un vide sans fond,
Toi qui étais ma raison d’être joyeuse le matin,
Toi qui me réconforter quand j’étais triste,
Toi qui avais peur dès que l’orage menaçait,
Toi qui nous faisais rire dès que tu pouvais,
Toi que rien n’arrêtait,
Toi qui avais une gentillesse et un amour infinis.
Je te dédis ces quelques mots.
Pour que là où tu sois,
Je veux que tu te souviennes
Que je pense à toi,
Et que je t’aimerais toujours.

Merveilleux Noëls de mon enfance,
Avec toute cette effervescence
Qui régnait partout dans la maison,
Et le sapin plein de décorations !
Moments de joie sans pareil,
Parés de bonheur et de merveilles ;
Maman qui préparait la bûche,
Nous qui faisions les truffes
Les mains pleines de chocolat,
Plus sur nos doigts que dans le plat !
Et enfin, la dernière nuit venue
Avant le grand jour tant attendu,
Le sommeil qui ne veut pas venir,
Trop excités pour s'endormir ;
Espérer que le Père-Noël va oublier
Les bêtises faites pendant l'année,
Puis au petit matin, se lever,
Et devant nos yeux émerveillés
En découvrant les paquets,
Nos parents qui souriaient !
Belle vérité

Celui qui n'a pas Noël dans le coeur
Ne le trouvera jamais au pied d'un arbre
